Comme chaque année, les élèves impliqués dans le projet Nuit Blanche de la Lecture ont pu échanger par zoom avec quatre auteurs de la sélection. Ces rencontres, qui ont eu lieu entre le 07 octobre et le 12 novembre, ont permis de mieux appréhender le processus d’écriture tout en découvrant des figures de la littérature francophone contemporaine.
Simon Parcot, auteur de Le bord du monde est vertical, est philosophe et alpiniste. Dans son récit, qui met en scène une cordée partie à l’assaut d’un mont mythique, il évoque la dimension spirituelle de l’ascension en montagne. Il est revenu sur les expériences qui l’ont mené à élaborer son roman.
Bérengère Cournut, autrice de Zizi Cabane, nous a parlé de son attirance pour l’imaginaire, la conduisant à développer des récits où le fantastique n’est jamais loin.
Pascale Robert-Diard, autrice de La petite menteuse, a longuement évoqué son métier de chroniqueuse judiciaire. Son roman, qui interroge la notion de vérité au cœur d’un procès, aborde avec gravité ce qui se joue à l’adolescence.
Cette classe d’âge est également au cœur d’Un garçon ordinaire, de Joseph d’Anvers, écrivain et musicien, qui situe son récit dans les années 1990 et nous a fait l’honneur de jouer pour nous un morceau de Nirvana.
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